Enjeu vital où le diagnostic vital de l’Albiceleste était engagé.Le Onze de la Pampa courait après une hypothétique qualif en coupe du monde. Aumoins pire, le strapontin de barragiste.
Difficile à réaliser outside, par près de 3000 d’altitude etune pelouse gâtée. Surtout, une panne généralisée d’un onze somme toute trèslimité. Faisant de cette cuvée l’une des plus faibles de son histoire. Hormis, leseigneur Messi. Et à moindre cran, Di Maria.
Que d’appréhensions ! Et de lamentations. Des puristesmais aussi des politiques de Russie. Des gros dépositaires mondiaux du showbizz,aussi.
Messi absent du Mondial russe 2018 ? La partie de Quitoa démarré sous ce spectre. Même pas une minute de jeu. L’Equateur marque. Lesportes de l’enfer s’ouvrent. Un pays, une planète et dix joueurs sur le terrainfont tête basse. Seule, celle de l’extraterrestre, flanqué du numéro 10mythique et du brassard de capitaine- de l’empereur ?- reste levée. Oncomprendra pourquoi.
Un but de renard savamment lifté, une frappe en lucarnerageuse et un magnifique lob, en déséquilibre. Voilà pourquoi ! Du Messitout craché.
Qui a définitivement scellé bien des débats. Sur son rendementcomparé au sein du Barça. Où il vogue en stratosphère. Roulant aux stats d’une ‘’Pulgaatomique’’ voilà maintenant douze ans. Et sur celui, jugé œuvre de simplemortel, en sélection. Où un cheval de course ahane en tirant des poneys !
«Mais ne dit-onpas que c’est face à l’adversité que les grands s’illustrent le plus ?». C’estce qu’on écrivait hier. Pris dans l’angoisse ambiante de ne plus nous délecterdes prouesses de l’homme aux cinq ballons d’or dans un Mondial.
On répare, aujourd’hui. «Mais ne dit-on pas que c’est face àl’adversité que les PLUS grands s’illustrent le plus ?».
Que se rassurent les adeptes de la magie footballistique.Messi sera au Mondial 2018. Que ce grand buteur anglais de Gary Lineker, serassure aussi ! Lui, l’auteur de ce tweet d’avant match. Subtile et sublime.«Un Mondial sans Messi serait un Mondial sans …Messi !»
Plus autre chose à dire !