Le premier ministre, Abdelmalek Sellal, en visite ce jeudi à Oum El Bouaghi, a affirmé que "l'Etat n'avait aucun problème avec la presse", et que "les journalistes sont libres, mais ils sont tenus de respecter l'éthique et les institutions de l'Etat."
"n'y a aucun journaliste emprisonné à cause de ses opinions et nous n'emprisonnons aucun journaliste en raison de ses opinions, mais la diffamation, l'injure, l'insulte et l'atteinte à la dignité des personnes et des familles ne fait pas partie de nos traditions".
M. Sellal a, dans ce cadre, appelé l'élite algérienne à contribuer à "la promotion des valeurs de la société et à corriger situation par le recours aux bonnes méthodes", estimant que le problème "est d'ordre moral et civilisationnel en premier lieu".