15h01 : A Chlef, une vidéo postée sur les réseaux sociaux montre un accrochage entre pro-dialogue et manifestants du mouvement populaire.
14h55 : A Alger, le barrage policier de la place Maurice Audin a été levé laissant ainsi les manifestants marcher vers la grande poste.
14h15: Les manifestations dans les autres villes du pays avec les mêmes slogans. A Bouira, Annaba, Constantine, Tizi Ouzou et les autres villes les manifestants scandent les même slogans pour les mêmes revendications.
13h25 : les manifestants sont de en plus nombreux à investir les rues d'Alger pour dire non au dialogue et oui pour le changement du système.
12h20 : Des policiers tentent de disperser des manifestants rassemblés au niveau de la rue Abdelkrim Khettabi.
12h12 : Des slogans dénonçant le dialogue initié par Karim Younès et appelant à la désobéissance civile sont scandés à Alger par des manifestants aux abords de la place Maurice Audin.
11h25 : Les premiers manifestants marchent à Alger centre en scandant des slogans hostiles au dialogue et aux récentes déclarations du chef de l'Etat major de l'armée, Ahmed Gaid Salah.
10h45 : Des manifestants ont entamé une marche depuis le quartier de Bab El Oued vers Alger centre.
10h01 : Le dispositif policier est encore plus important ce vendredi à Alger aux abords de la grande poste et de la place Maurice Audin en prévision des manifestations du mouvement populaire. Alors que des gendarmes ont été déployés aux accès vers la capitale.
09h34 : Le mouvement populaire du 22 février est à son 25e vendredi de mobilisation pour exiger le changement radical du système politique aux commandes du pays qui passera par le départ de toutes ses figures.
Ce nouveau vendredi de mobilisation intervient au lendemain de nombreux faits d'actualités qui rythment la crise que traverse l'Algérie à commencer par la rencontre entre des membres du panel du dialogue avec des "représentants" du Hirak dont la réponse sera donnée par la rue comme elle nous a habitués depuis le 22 février dernier.
Les réactions qui susciteront les récentes déclarations du chef de l'Etat major de l'armée, Ahmed Gaid Salah seront entendues également durant les manifestations de ce vendredi. L'autre fait et pas des moindres, c'est l'acquittement du manifestant Nadir Fetissi par le tribunal d'Annaba et surtout la restitution des drapeaux amazighs motif de son interpellation, son incarcération puis son jugement lundi dernier.
Contre toute attente, la juge du même tribunal a prononcé la relaxe alors que le parquet avait requis la peine de 10 années de prison pour atteinte à l'unité nationale. Et réagir par rapport à cette actualité judiciaire sera sans aucun doute l'occasion pour réitérer l'attachement du Hirak à ce préalable portant libération de tous les détenus d'opinion.
La rue réagira aussi par rapport à d'autres faits comme le lancement d'un mandat d'arrêt international par la justice militaire contre l'ancien ministre de la défense nationale, Khaled Nezzar.