Le fameux procureur général d'Alger, M. Belkacem Zeghmati, à l’origine du lancement d’un mandat d’arrêt international, fait en toute illégalité, contre Chakib Khelil vient de voir son limogeage entérinée par le décret présidentiel N° 17 du 19 Joumada El Oula 1437 correspondant au 28 février 2016 publiée dans le journal officiel.

Il y est écrit qu’il a été mis fin aux fonctions de M. Belkacem Zeghmati en sa qualité de procureur général d’Alger.

Et contrairement à ses collègues des autres wilayas appelés à d’autres fonctions où à rejoindre d’autres Cours, aucune précision dans ce sens n’a été notifiée à Belkacem Zeghmati.

Une décision somme toute attendue surtout depuis le retour de Chakib Khelil en Algérie qui plus est, avec un accueil quasi officiel.

Zeghmati devait alors forcément «payer» pour son mandat d’arrêt et la conférence de presse qu’il organisée en août 2013 pour informer les algériens que la justice algérienne à décidé de poursuivre l’ex ministre de l’énergie.

Ceci, même si certains à l’image de Ahmed Ouyahia soutiennent que Zeghmati n’a pas agi seul mais qu’il a plutôt "subi des pressions". Par qui ? Ahmed Ouyahia n’a pas dit plus.