L’Agence nationalepour la valorisation des ressources enhydrocarbures (Alnaft) a lancé plusieurs études pour évaluer le potentiel de l’Algérie en offshoreet en ressources non conventionnelles, selonson président Arezki Hocini intervenanant los du forum algéro-américain sur l’énergie
"Nous menons sixétudes pour déterminer avec précision ce que nous avons comme potentiel enoffshore et en ressources non conventionnelles", a-t-il expliqué,précisant que ces études concernent tous les bassins du Sahara et l’ensembledes côtes algériennes .
Déjà, les résultatsde la première étude menée par Sonatrach dans le bassin d’Ahnet sont encourageants et ont montréune forte récupération d’hydrocarbures,qui est même supérieure à la moyenne mondiale, a révélé M.Hocini, dans unedéclaration au correspondant de l’APS, en marge de ce forum.
"On apratiquement une récupération de 9 bcf (milliards de pieds cube) par puits, alors que lamoyenne mondiale se situe autour de 6 bcf ", a-t-il ajouté. Il s’agit dedébits commerciaux en mesure de couvrir les coûts du puits et générer unefiscalité durant sa période d’exploitation.
Dans sa présentationsur l’agence Alnaft, M. Hocini a précisé qu’en général, l’exploitationde ce type d’hydrocarbures nécessite un recours aux partenaires étrangersmaîtrisant la technologie et le savoir faire. Il s’agit entre autresde partager les financements et les coûts d’investissements, a-t-il expliqué.