A portée de clic, un nouveau site d'informations s'ouvre au lecteur algérien. Algérie Plus (A+) n'est pas réellement nouveau. C'est la poursuite, par une partie de sa toute petite équipe, de l'aventure entamée avec Viva l'Algérie. En quelques mois à peine, celui-ci est devenu un vecteur incontournable de l'information sur l'Algérie, élargissant chaque jour son audience. Nous informerons sur l'actualité algérienne, mais aussi sur tout ce qui touche à la communauté à l'étranger (diaspora). Dans un monde où l'information est foisonnante, circulant de plus en plus vite et où les réseaux sociaux disputent la place aux médias classiques, il n'est pourtant pas aisé de s'imposer. Nous l'avons fait et nous comptons conquérir de nouveaux espaces, en nous adaptant perpétuellement aux exigences de la révolution numérique qui a bousculé les habitudes. Avec l'internet, il est ridicule de parler de Quotidien, d'Hebdo ou de tout autre périodique. L'information n'est pas emmagasinée pour être livrée d'un coup au lecteur. Elle circule en flux continu, adaptée et actualisée au fil du déroulement de la "story".

Avec comme devise "l'info au plus près", Algérie Plus sera un label, la marque de fabrique d'une information fiable et pourquoi pas exclusive. C'est là que nous comptons nous distinguer. Une information erronée conduisant forcément à de fausses analyses, nous refuserons de participer à une course à l'échalotte, qui consisterait à revendiquer la palme du premier arrivant. On pensera toujours qu'il est "urgent d'attendre" lorsque l'information n'est pas vérifiée, attestée. A titre d'exemple, nous nous sommes abstenus de livrer à nos lecteurs toutes les rumeurs qui ont circulé en relation avec l'opération de l'armée contre le maquis de Sidi Ali Bounab. On s'est également retenu de relayer les informations sur la création d'un parti politique par Saïd Bouteflika dont l'auteur a fini par lâcher qu'il était mythomane. A contrario, nous avons été les premiers a révéler les raisons qui ont conduit le président Bouteflka à annuler sa visite d'Etat en France, les premiers à rapporter les sanctions de la Banque d'Algérie contre l'opérateur de téléphonie mobile OTA en matière de commerce extérieur, les premiers à annoncer le départ de Zerhouni du ministère de l'Intérieur. Nous avons été les seuls à prévoir un non-lieu dans l'affaire du diplomate Mohamed-Ziane Hasseni et les seuls à prévoir le maintien en détention de Cheb Mami qui pourra ête libéré régulièrement en février. Alors qu'on portait le nom de Viva l'Algérie, cri de ralliement des Algériens à travers la planète, nous avons été les seuls à ne pas parier un dinar sur une qualification de l'Algérie au second tour du Mondial, révélant le jeu de dupes auquel se livraient le président de la fédération et l'entraîneur national.

Nous nous efforcerons de garder cette ligne de conduite sans nous priver d'exprimer notre opinion ou plus précisément nos opinions puisque nous refusons la pensée unique et acceptons de vivre avec nos différences. Sans avoir de ligne éditoriale rigide, Algérie Plus ne sera pas pour autant un assexué politique. Alors que les citoyens du monde tissent des liens avec les réseaux sociaux et la promotion de l'autojournalisme nous offrons la possibilité d'un journalisme participatif. Un mail et un répondeur sont à la disposition des lecteurs pour transmettre leurs propres informations. C'est une marque de confiance qui ne va quand même pas nous affranchir de notre devoir de vérification. Animés d'une ambition mais avec comme seul capital notre expérience  et notre savoir-faire, nous cheminerons avec vous à pas mesurés. Algérie Plus vous met au plus près de l'info.