La contestation sociale, alimentée, notamment, par les grèves dans lessecteurs de l’enseignement et de la santé ont fait réagir mardi le FFS dans un communiquédans lequel il « salue la mobilisation desenseignants, des médecins résidents, des étudiants de l’ENS et des syndicatsautonomes leurs mouvements sont un signal fort de prise de conscience au seinde la société, et qui a brisé le mur de la peur, par des sacrifices, en faveursdes droits sociaux et politiques ».
Face à cette contestation qualifiée de « grandissante », le plus vieuxparti d’opposition estime souligne que « lespouvoirs publics se devaient d’ouvrir un dialogue permanent et inclusif àl’effet de rechercher des solutions consensuelles aux problèmes posés par lesdifférents syndicats et collectifs ».