L’inénarrable Rachid Nekkaz, qui s’est un peu calmé après la raclée que lui a flanquée à Paris le gendre d’Amar Saâdani, il y a trois mois, se rappelle encore aux souvenirs des algériens.
Cette fois-ci, il ne s’agit pas d’une agression, mais d’une expulsion, samedi de Tunisie, où il est visiblement persona non grata.
Usant du même procédé, la vidéo, Rachid Nekkaz a filmé ses échanges avec un policier tunisien (qu’on ne voit pas à l’image) chargé de lui signifier son expulsion.
« C’est la dictature algérienne qui vous instruit pour me chasser, mais je refuse de m’exécuter, si vous ne me donnez pas un docuement écrit », entend dire Rachid Nekkaz au policier qui lui explique qu’il était chargé d’appliquer la loi.
« Voilà, les algériens qui aident chaque année la Tunisie avec 250 millions pour payer la police, voient un des leurs expulser, voilà ce qui est adevenu du passeport algérien, nous n’avez pas le droit de me chasser, je suis un algérien libre, un algérien fils de chahid », commente encore Nekkaz, l’air faussement dépité.